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Le 16 Juillet 2014 à 16h30

PASCAL

Autre logiciel alternatif : WAVESOFT

Le 04 Mars 2014 à 17h05

jn nabet

Pour un éditeur alternatif.

Je vous propose de visiter www.ibizasoftware.fr
Cordialement

Le 25 Février 2013 à 12h07

Marco13

Alors là je rigole !
Parce que Ciel est en réalité très très malin !
Mais moi, je ne suis pas idiot non plus !

Que nous disent-ils ? Sous des airs de marketing bien pensé et de mots clés futés (cloud computing), Ciel passe en DUA ! Voilà la réalité. Pas de SaaS au sens "online", ou au sens "ASP", pas d'accès à distance, pas de sécurisation des données, pas d'innovation. La confusion est extra (flex) !!!

Dans cette offre, le logiciel reste en mode licence, mais sera lié à un DUA ou un Droit d'utilisation mensuelle, c'est à dire que notre client sera obligé, pour que son logiciel tourne, de payer TOUS LES MOIS ! C'est le piège en or pour nous tous revendeurs : le client est lié à Ciel qui passe en récurrence sur nos parcs parce qu'on n'a pas réussi à reconduire notre client.

Le petit artifice Ciel business mobile, c'est du cloud certes, mais ce n'est pas l'applicatif, c'est un tableau de bord ! La blague ! Tous les éditeurs font ça. Mais personne n'est dupe : ce que nos clients attendent, c'est de l'interactif, de la mobilité avec leur soft. Pas de la DUA sad

Le 19 Février 2013 à 17h38

AIXO7 group

Chers confréres, consoeurs,

La stratégie de Ciel ne diffère pas des autres éditeurs en recherche de récurrent.

En matière de commerce, il faut bien distinguer le marché sur lequel on se place, la position dominante que l'on veut y assurer et la capacité du marché à renouveler la demande. Le logiciel n'est pas un produit consommable et par nature chaque éditeur tend à le rendre proche d'un produit consommable car renouvelable pour le récurrent de CA.

Cette stratégie, tout revendeur quel qu'il soit, s'il la perd de vue est aujourd'hui proche de l'agonie commerciale en quelque mois compte tenu de la situation économique actuelle.

Ce qui détourne Ciel du modèle économique de ses revendeurs actuellement (même des meilleurs car nous sommes Ciel d'Or 2012) c'est que ce récurrent est inabordable pour eux et reste au profit quasi total de l'éditeur.

Le mode souscription tire vers le haut de la gamme alors les revendeurs sont de plus en plus écartés du stock de client potentiels que constitue la gamme millésime. D'ailleurs, sur celle-ci, ils ne peuvent pas domicilier leur client sur des contrats, par exemple, qui sont sources de CA récurrent.

De plus, le revendeur paie les coûts de conquête du client et l'éditeur ronronne sur le renouvellement qui lui coûte 7 fois moins cher et sur lequel le revendeur ne fait aucun récurrent.

Enfin, Ciel n'affecte pas le parc client à ses revendeurs et ne participe aucune à la protection de sa clientèle en interne. Ceci fait que l'éditeur et notamment son service client direct devient donc le concurrent interne du partenaire avec lequel il travaille. La dualité de la concurrence du direct et de l'indirect ont des effets pervers vite source de conflit et de désastre sur le réseau de vente indirect.

Les enjeux sont plutôt dans ce mauvais modèle économique qui devient aujourd'hui très peu attractif pour un revendeur puisque l'essence même de son intérêt disparait. Même si EBP n'est pas parfait, cet éditeur a su intégrer un modèle économique tout à fait approprié à son réseau de vente indirect où les revendeurs se retrouve et qui booste le business.

Ciel devrait donc remettre en cause sa stratégie trop anglo-saxonne trsè inadaptée au marché européen et relire certains best sellers de la stratégie comme le Strategor ou le Mercator. Lorsqu'un client est mécontent 7 à 10 autres le sauront. Lorsqu'un revendeur est mécontent non seulement une dizaine de clients le sauront mais le risque majeur est le transfert à la concurrence. Nos clients interprétent bien plus vite qu'on ne le pense certains signaux... La sanction sera immédiate en terme de parts de marché un fois le feu au poudre des revendeurs mal écoutés. Cette situation a déjà commencé avec Sage par la création d'une association de revendeurs las de voir la loi du pot de fer les gréver tous les jours.

A méditer.

Bien à tous.

Le 17 Février 2013 à 15h29

pascal

L’offre de CIEL est simple, efficace, pertinente et Ils  savent faire du marketing.  Ils ont un nouveau directeur commercial, quel est le problème ? Vu son  passé il  va surement orienter l’activité vers les revendeurs ce qui est bien pour le marché (EBP est loin d’être parfait..). Pour ma part je vois dans toutes ces annonces faites par EBP et CIEL beaucoup d’opportunités, dont je compte bien me servir !

Le 17 Février 2013 à 09h21

patricepiorkowski

Mes chers amis.
Je suppose tout comme moi que vous êtes des professionnels du service aux entreprises.
Que votre activité est de soutenir ces entreprises au développement de leurs solutions de gestion.
Que vous n'êtes plus à l'heure de la bricole PC.
Donc votre orientation est celle de la qualité de service et satisfaction clients.
S'il vous plait.... Arrétez de faire les concessionnaires automobile. Sinon, nous allons tous très vite être rattachés à des mécannos. Je n'ai rien contre eux, mais leur corporation souffre d'une très mauvaise image de marque.
Vous parlez de maisons d'éditions qui sont sur le terrain depuis bientôt 30 ans. Je pense, qu'elles n'ont jamais eu la prétention du tout parfait. Il me semble que le l'univers de l'IT est toujours en mouvement. Et nous composons avec ce mouvement perpétuel.
Je pense beaucoup de bien de Ciel. Les solutions sont claires, simples, efficaces et très pédagogiques.
Assimiler Flex a des préservatifs est très agressif.
Dire que les directeurs changent tous les six mois est un mensonge. Arrétez s'il vous plait d'écrire des bétises sans fondement.
Dire que Ciel et Sage ont 4 ans de retard sur le cloud est un jugement très rapide et je n'ai moi même pas la prétention d'afirmer une telle chose. Ce qu'il me semble, pour être rattaché à un réseau agréé de plusieurs éditeurs et que le positionnement du groupe Sage dans ce nouveau marché est très fort.
Je n'ai bien sur aucune critique à faire à EBP qui déploie aussi beaucoup d'efforts actuellement.
Bref,
S'il vous plait, construisez un avenir à notre corporation. Un avenir constructif pour nos clients. smile
A vous lire.

Le 16 Février 2013 à 11h07

Philippe12

moi qui suis revendeur Ciel depuis plus de 10 ans, je vous assure que je suis prêt à quitter cet éditeur tout comme nos camarades le font chez Sage.
Politique peu claire, produits en retard et bugués, directeurs qui changent tous les 6 mois
Je suis parti chez EBP pour vendre Itool (produit simple et efficace), et j'attends la version Pro en SaaS. Je vais aussi tester des éditeurs plus petits.
Entre leur nom de capote, et leur nouveau directeur transfuge (un ancien d'EBP qui a tourné sa veste), Ciel n'a plus qu'à nous annoncer une politique commerciale boiteuse et un produit hébergé qui coute trois fois le prix d'une Evolution aujourd'hui, pour finir de casser le réseau...
Halàlà...

Le 15 Février 2013 à 15h12

PHILOMENE

Coralie,

combien Ciel t'a -t-il donné pour faire la promo d'une "politique commerciale "  dont tu ne connais pas encore la teneur ?

Le 14 Février 2013 à 23h37

Masson Coralie

Revendeur Centre partenaire Ciel depuis plus de 10 ans, je suis impatiente de mettre en place ces contrats mensuels sans engagements.

Ces abonnements correspondent à une réalité économique, attendue par les clients.

Ciel a commencé la communication auprès de ses revendeurs sur ces nouveaux contrats bien avant la date de mise en place.

Les 3 formules avec des niveaux de service différents permettent de s'adapter à la fois au budget du client et à son désir ou non d’héberger ses données à l’extérieur.
Plusieurs clients que je gère sont intéressés par un coût de revient moindre par rapport à une version "boite"  du logiciel. Ils sont donc prêts pour cette formule qui lisse leur contrat de maintenance et évite l'achat du logiciel.

En résumé, je suis prête à passer les premières commandes très prochainement !

Le 14 Février 2013 à 21h53

patricepiorkowski

Wouhaouu ! La gifle sur le préservatif !!! Le géant vert à du manger votre maïs. smile
Bruno, votre remarque est pertinente. Mais il faut nous en dire plus.
Vers quel éditeur digne de renom faut-il aller pour performer du Saas.
A vous lire.

Le 14 Février 2013 à 09h39

Bruno MARTY

Ciel, tout comme Sage, découvre le SaaS avec 3 à 4 années de retard. Mais les puissants peuvent se le permettre.
Je plains les pauvres revendeurs de ces solutions Ciel, qui vont devoir subir sans préparation aucune les changements de politique de leur éditeur.
Note positive cependant : remercions le service marketing qui a su donner des noms de préservatifs aux nouvelles solutions ! Les clients se sentiront sûrement mieux protégés.

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